Laboule

Laboule è Paolo Novellino: nasce a Milano nel 1984 e cresce in Valtellina fra monti e arrampicate sugli alberi.

Chitarrista di nascita e polistrumentista per necessità e spirito d’avventura, passa il tempo in valle ad esplorare la chitarra suonando e fondando svariate formazioni musicali.

Dal 2007 al 2010 co-produce due dischi come batterista per i Fuseaux e nello stesso periodo inizia la collaborazione con il laboratorio creativo People From the Mountains.

Dopo l’ascolto di “Rocky Mountain raga” di Robbie Basho torna alla chitarra con lo pseudonimo LaBoule, con il quale produce l’omonimo ep “LABOULE” promosso da concerti in tutta Italia ed in Francia, Olanda e Germania come opening in act per due tour di Musica da Cucina.

Nel 2013 Esce “Refugio” , disco d’esordio per Long Song Records.LABOULE is Paolo Novellino: he was born in Milan in 1984 and grew up in Valtellina, among the mountains and trees to be climbed.
Guitarist by birth and poly-instrumentalist by necessity, with the desire for adventure, he spent his time in the valley exploring the guitar and founding several bands as a poly-instrumentalist.
But after listening to “Rocky Mountain raga” by Robbie Basho, he got back to the guitar with the stage name LABOULE. As LABOULE, he has self-produced an EP with the same name, which has been promoted with several concerts as the opening act for Musica da Cucina.

orynx-improvandsounds.blogspot.be – Gongfarmer 36

Ce label italien vient de frapper fort avec ce superbe témoignage  solo d’un guitariste exceptionnel, Jim Mc Auley. Remarqué il y a plus de dix ans dans un album en trio de guitares avec Nels Cline publié par Derek Bailey sur son label Incus, Jim Mc Auley manie aussi bien la guitare classique que le dobro ou la national métallique, instruments emblématique du blues. Un morceau est dédié à John Carter, un autre revisite le saltarello. Des objets sont utilisés dans les cordes en en tirant les meilleurs effets.
Gongfarmer 36 est un témoignage de  de ce qu’un improvisateur / instrumentiste de haut niveau est capable de faire avec des guitares. Plutôt que de « spécialiser » dans un style ou une démarche, Jim Mc Auley réussit tout ce qu’il entreprend, nous offrant un panorama vivant et convaincant de son talent en travaillant le son en profondeur, l’articulation, les intervalles, l’exploration… Il trouve le ton juste avec chaque instrument et chaque approche. Un guitariste improvisateur radical qu’on écoute et réécoute avec plaisir et un intérêt renouvelé : on a l’impression de n’avoir pas fait le tour. Oubliez les références citées dans le texte de pochette (Bailey, Fred Frith) et écoutez la musique. Une surprise de première classe, catégorie « musique honnête ».

Ce label italien vient de frapper fort avec ce superbe témoignage  solo d’un guitariste exceptionnel, Jim Mc Auley. Remarqué il y a plus de dix ans dans un album en trio de guitares avec Nels Cline publié par Derek Bailey sur son label Incus, Jim Mc Auley manie aussi bien la guitare classique que le dobro ou la national métallique, instruments emblématique du blues. Un morceau est dédié à John Carter, un autre revisite le saltarello. Des objets sont utilisés dans les cordes en en tirant les meilleurs effets.
Gongfarmer 36 est un témoignage de  de ce qu’un improvisateur / instrumentiste de haut niveau est capable de faire avec des guitares. Plutôt que de « spécialiser » dans un style ou une démarche, Jim Mc Auley réussit tout ce qu’il entreprend, nous offrant un panorama vivant et convaincant de son talent en travaillant le son en profondeur, l’articulation, les intervalles, l’exploration… Il trouve le ton juste avec chaque instrument et chaque approche. Un guitariste improvisateur radical qu’on écoute et réécoute avec plaisir et un intérêt renouvelé : on a l’impression de n’avoir pas fait le tour. Oubliez les références citées dans le texte de pochette (Bailey, Fred Frith) et écoutez la musique. Une surprise de première classe, catégorie « musique honnête ».

orynx-improvandsounds.blogspot.be – Two For Joyce

Ce label italien vient de frapper fort avec ce superbe témoignage  solo d’un guitariste exceptionnel, Jim Mc Auley. Remarqué il y a plus de dix ans dans un album en trio de guitares avec Nels Cline publié par Derek Bailey sur son label Incus, Jim Mc Auley manie aussi bien la guitare classique que le dobro ou la national métallique, instruments emblématique du blues. Un morceau est dédié à John Carter, un autre revisite le saltarello. Des objets sont utilisés dans les cordes en en tirant les meilleurs effets.
Gongfarmer 36 est un témoignage de  de ce qu’un improvisateur / instrumentiste de haut niveau est capable de faire avec des guitares. Plutôt que de « spécialiser » dans un style ou une démarche, Jim Mc Auley réussit tout ce qu’il entreprend, nous offrant un panorama vivant et convaincant de son talent en travaillant le son en profondeur, l’articulation, les intervalles, l’exploration… Il trouve le ton juste avec chaque instrument et chaque approche. Un guitariste improvisateur radical qu’on écoute et réécoute avec plaisir et un intérêt renouvelé : on a l’impression de n’avoir pas fait le tour. Oubliez les références citées dans le texte de pochette (Bailey, Fred Frith) et écoutez la musique. Une surprise de première classe, catégorie « musique honnête ».

Refugio

Registrato in un rifugio alpino alle pendici del monte Grona con una chitarra acustica e poco altro, Refugio è la ricerca dell’interstizio fra due catene montuose, la scoperta di un orizzonte sonoro antico, polveroso e bagnato dal mare in cui trovare asilo, radici e prezioso ricovero per la melanconia.

Grazie all’utilizzo di accordature aperte i brani partono da una concezione modale della musica, generatrice di una base circolare per la forma canzone e per l’improvvisazione.

La ricerca di spazi, pause e sospensioni del suono si alterna a piccole rivelazioni che parlano di supposizioni, di colori, dell’arte di arrangiarsi.

LABOULE TRAILER from paolonove on Vimeo.REFUGIO. This album was recorded under the mountain dew among the Alps, on the side of Mount Grona, with an acoustic guitar and a few other instruments.
Refugio is a quest in the intersection of two mountain chains, the disclosure of an ancient, dusty and seaside soundscape where it’s possible to discover the necessary asylum to grow and find a precious refuge for melancholy.

LABOULE is Paolo Novellino: he was born in Milan in 1984 and grew up in Valtellina, among the mountains and trees to be climbed.

Guitarist by birth and poly-instrumentalist by necessity, with the desire for adventure, he spent his time in the valley exploring the guitar and founding several bands as a poly-instrumentalist.
But after listening to “Rocky Mountain raga” by Robbie Basho, he got back to the guitar with the stage name LABOULE. As LABOULE, he has self-produced an EP with the same name, which has been promoted with several concerts as the opening act for Musica da Cucina.

LABOULE TRAILER from paolonove on Vimeo.

Two For Joyce – Musica Jazz

Nel quarto [“Two For Joyce” n.d.r.] c’è un concerto triestino con Tippett (del 18-5-12), intensamente dedicato a James Joyce e perfettamente registrato. È forse quello in cui l’arte del contrabbas- sista si offre con maggiore ostensività, complice un partner la cui fantasia e il cui senso drammatico, specie quando sono declinati percussivamente, sembrano appartenere per elezione a quel nido di tensioni che diventa il contrabbasso del Maier più concentrato. I gesti precisi e raffinati del suo pizzicato fanno rimbalzare suoni duri e corti, dal timbro ambrato, stondati e ritmicamente carichi; quasi refrattari ai larghi tagli armonici. Con l’arco disegnano gracili ragnatele che oscillano e si afflosciano nel silenzio, oppure produ- cono violente strappate dal timbro sempre ricercato.

Nel quarto [“Two For Joyce” n.d.r.] c’è un concerto triestino con Tippett (del 18-5-12), intensamente dedicato a James Joyce e perfettamente registrato. È forse quello in cui l’arte del contrabbas- sista si offre con maggiore ostensività, complice un parter la cui fantasia e il cui senso drammatico, specie quando sono declinati percussivamente, sembrano appartenere per elezione a quel nido di tensioni che diventa il contrabbasso del Maier più concentrato. I gesti precisi e raffinati del suo pizzicato fanno rimbalzare suoni duri e corti, dal timbro ambrato, stondati e ritmicamente carichi; quasi refrattari ai larghi tagli armonici. Con l’arco disegnano gracili ragnatele che oscillano e si afflosciano nel silenzio, oppure produ- cono violente strappate dal timbro sempre ricercato.